Photos
: page de photos
9 - 2 (annexe)
D'autres photos de Lucien Briet
: Barroude
(Musée
pyrénéen de Lourdes)
30
juillet 1897 "Le
port de La Géla"
"Port de la Géla" : c'est
le nom que Lucien Briet donne au port de Barroude (ou de Barrosa, ou
encore, pour les espagnols, de Barroseta). Sur la carte d'Etat-Major il s'appelait
"Passades de Barroude", et le Port Vieux port de Barroude.
Il est vu ici du sentier qui, de la hourquette de Chermentas,
mène à Barroude. Au prmier plan le Pichous de Barroude.
Le port est derrière. A gauche, le pic de Port Vieux.
30 juillet
1897 "Le
glacier de la Géla"
Le balcon de Barroude, supporté
par le Pichous de Barroude, au pied de la grande muraille . "Vers
le port, la grande muraille fuyait, accablée d'elle-même, avec
un glacier sous sa protection. Au bas de ce glacier qui éblouissait,
une tache grisâtre accusait des préliminaires de mise à
nu. Pas la moindre crevasse, mais une langueur féline, sentant la traitrîse
d'une lieue".
30
juillet 1897 "Le
mur de La Géla"
La muraille calcaire telle qu'elle apparait lorsqu'on
aborde la balcon de Barroude. Noter, en haut, le bandeau de schiste.
30 juillet
1897 "Le
pic de la Géla"
"Chaque fois que je me retournais,
le pic de la Géla, taillé comme une pyramide d'Egypte, rétractait
l'humble attitude qu'il avait eue aux Aiguillons". Lucien Briet dit
ailleurs : "Au flanc du pic de la Géla, une lézarde,
encombrée de débris et de glaces, invitait à regagner
la montagne des Aiguillons".
30 juillet
1897 "Le
petit lac de la Géla"
A gauche, le pic de Piau cache
à moitié le pic Méchant. Au fond, le pic de
Bugatet.
30 juillet
1897 "Le
grand lac de la Géla (parties gauche et droite)"
(Cliquer sur l'image
pour l'agrandir)
Montage de deux photos, l'une de la partie
gauche du grand lac, l'autre de sa partie droite, destinées à
constituer un panorama. Dans la partie gauche, le port et le Soum de Barroude.
Noter à droite, l'importance du névé, "éblouissant"
au pied de la muraille, descendant jusqu'à la moraine, et dont on peut
penser, comme Lucien Briet, qu'il cachait encore, à la fin du XIXe
siècle, un véritable glacier.