Le cirque de Barrosa : courses
Le pic de Barrosa
(2763 m), par le cirque : version
imprimable (voir
carte imprimable)
Sur
la large croupe qui se détache vers le sud-est de la crête frontière
au Soum de barroude on trouve successivement deux bosses : c'est la première
(2739 ou 2746 m) qui est
appelée Pic de Barrosa sur certaines cartes, mais c'est la deuxième,
plus haute (2763 m), à qui ce nom est donné ici.
1. A pied, par le port de Barroude
(2534m) ( N° 1 et 2 sur la carte imprimable)
Accés : voir la carte imprimable.
Intérêt :sommet peu spectaculaire mais beau belvédère,
face au cirque de Barrosa et la muraille de Barroude, et intéressant
sur le plan géologique
Dénivelé : 1313 m.
Difficulté : aucune; sommet trés facile : sentier, ou faibles
pentes sur des croupes caillouteuses.
Topos : Michel Angulo, Pyrénées
III, Elkar, 1996, p.151, n° 437 (carte p.132) ; Raymond Ratio et Louis Audoubert,
50 balades et randonnées dans le Haut Aragon, Milan, 1995, p.76 ; Roger
Büdeler, Pyrénées centrales espagnoles, de Panticosa à
Bénasque, Rother, 2003, p.116 ; Joaquin Guerrero, Sobrarbe, Albada y
Agencia Medio Ambiental Ibon, p.139.
ITINERAIRE : A
partir de la sorte d'esplanade qui surplombe les installations minières
de l'Hôpital de Parzan et leurs déblais, la piste, carrossable
(sur 1 km, mais difficilement pour les premiers 250 mètres en forte pente)
depuis sa restauration en octobre 2005 , prend la direction de l'ouest (voir
à cet endroit, à droite, dans la végétation, la
station inférieure du câble aérien des mines Luisa) et remonte,
sur la rive droite, l'agréable vallée boisée de Barrosa,
en auge glaciaire, dominée à gauche par les aiguilles granitiques
de la sierra de Liena. Il s'agit de la piste forestière par laquelle
était transporté le bois utilisé pour étayer les
galeries de mines.
Aprés
une rude montée et une partie horizontale, la piste passe (à 15'
de l'Hôpital de Parzan) devant la ruine de ce qui était
probablement la station inférieure d'un câble aérien descendant
d' anciennes mines du flanc sud du pic Barrosa, vers 2200 m., dites "mines
de Mallo Ruego". On peut camper entre le chemin et le torrent
Plus loin (à 25' et 1,5 km de la route) le chemin,
carrosable jusque là , passe sur le canal d'amenée, couvert
par une voute maçonnée, qui dérivait l'eau du torrent vers
la conduite forçée de la centrale électrique de l'Hôpital
de Parzan.
C'est ensuite un large et agréable chemin herbeux qui
remonte lentement la vallée, bordé par les buis et les pins.
A 40' il est coupé successivement par deux couloirs,
à sec en été, par où des coulées de pierres,
de granite d'un blanc éclatant, descendent de la sierra de Liena, mélées
dans le premier à des pins fauchés par des avalanches. Cet endroit
précède la base, sur la rive gauche, de la partie inférieure
de l'éperon des Bachetas (dans le haut duquel on remarque un large dièdre
aux parois lisses). C'est de là que les grimpeurs peuvent gagner la base
de la partie supérieure de cet éperon, plus rapidement accessible
cependant depuis le plateau de Liena.
La faune est riche dans cette vallée : marmottes (introduites
versant français elles ont colonisé le versant espagnol), et isards
en particulier (voir à ce sujet : un article de Santiago Mendieta,
sur le cirque de Barrosa, dans le n°89 de la revue "Pyrénées
Magazine", p.38, et l'ouvrage de Joaquin Guerrero).
A 45' de l'Hôpital de Parzan le chemin devient un sentier
et, aprés avoir traversé un chaos de gros rochers, passe à
hauteur d'une passerelle donnant accés, sur la rive gauche du torrent,
à un lieu de camping idéal (sauf qu'il est inondable en cas de
fortes pluies).
Les pins se font rares et le sentier, qui cotoie le torrent et
passe à proximité d'une source dans des rochers moussus, finit
par atteindre (à 1 h.) le fond plat et caillouteux du cirque (1700
m), où la vallée, changeant de direction, s'oriente vers le nord.
Aprés
la traversée du torrent le sentier s'élève en larges lacets
sur les pelouses de sa rive gauche, parsemées de blocs erratiques calcaires.On
se trouve là sur une ancienne moraine glaciaire datant de l'époque
de retrait des glaciers quaternaires.
Il passe d'abord à proximité de la cabane de Barrosa,
au toit en ciment (1750 m, à 1 h. 15), bâtie au-dessous d'un
rocher.
Jusqu'en
2004 cette cabane a été
inutilisable : elle servait d'abri aux vaches et son sol, boueux, était
encomdré de blocs rocheux ; mais en juin 2005 des travaux de restauration
ont été entrepris : étancheité du toit assurée
par une couche de ciment, mise en place d'une fenêtre et d'une porte métallique
à deux battants, sol nettoyé et cimenté, aménagement
d'une petite cheminée, dont le tirage reste à vérifier
(on trouve du bois mort à proximit); reste, en novembre 2005, à
y installer du mobilier; 10 à 15 personnes peuvent y loger.
A noter qu'on peut planter des tentes à
hauteur de la cabane, mais plus prés du torrent.
Le sentier passe ensuite prés des ruines
d'un enclos ou d'un bâtiment, entre deux gros rochers erratiques.
Plus
haut (vers 2100 m) ses lacets contournent par la droite une barre rocheuse (verrou
glaciaire) au-dessus de laquelle on découvre un vaste replat herbeux
(agrémenté d'un laquet), sur lequel on peut camper.
Le sentier gagne ensuite le large port
frontalier de Barroude (2534 m) (2h. à 2h.30). Peu avant on trouve
un panneau signalant le "Camino de Las Pardas" (c'est-à-dire
le chemin des mines), qu'on repère dans la falaise proche, à la
limite inférieure des ampélites noirâtres, et dont on peut
suivre la trace dans les pelouses qui précèdent le port. Du port
on découvre la muraille et les lacs du balcon de Barroude (et
son refuge, à une demi-heure de là).
Vers
le sud-est, par de larges croupes caillouteuses, pelées ("nues
comme le Soudan", Henry Russell), d'abord
sur des ampélites sombres, violet foncé, délitées
(la touche de vert apportée par un peu d'herbe donnant à ces moutonnements
une "couleur de bronze"), on atteint le Soum de Barroude (2674
m), puis,
sur des cailloux de calcaire crétacé blanc,
une deuxième bosse, et
enfin sur du grés rouge (coiffé
d'un peu de calcaire), le sommet
du pic de Barrosa.
Face au cirque, "observatoire grandiose :
vue magnifique" (Henry Russell).
Magnifique panorama, face au cirque
DESCENTE : elle
se fait par le même itinéraire.
REMARQUES :
*
Le port de Barroude peut aussi être atteint par la vallée
de la Géla et le balcon de Barroude, avec son
refuge (2377 m ; tel. : 05 62 39 61 30 ; refuge qu'on peut aussi gagner,
de la station de ski de Piau-Engaly, par la vallée de Badet,
la Hourquette de Chermentas {2439 m], et le beau sentier en corniche
au-dessus de la vallée de la Géla ).
* De
même le Soum de Barroude peut être atteint, depuis la vallée
de la Géla, par le Port Vieux (2378 m ; point de
passage ancien entre les vallées d'Aure et de Bielsa) auquel on monte
par un ancien chemin muletier qui passe à proximité des anciennes
mines de La Géla. Du port on monte au pic de Port Vieux
(2723 m ) par un sentier raide vers la fin, sur le versant espagnol de l'arête
qui relie le Port au pic, pour descendre ensuite sur le Soum de Barroude . Si
on rentre par le port et le refuge de Barroude, on réalise
un trés beau circuit
* Le Port Vieux, les pics
de Barrosa et de Port Vieux, et le Soum
de Barroude peuvent aussi être atteints depuis l'entrée
nord du tunnel Aragnouet-Bielsa, par le col de l'Aiguillette, ou mieux,
versant espagnol
, de la sortie sud (où on trouve
un parking juste à gauche de celle-ci), par la vallée
du rio Pinara,
Ce dernier itinéraire se prête d'ailleurs au ski
de randonnée, pour gravir les pics de Port Vieux ou de Barrosa
2.
A skis de randonnée, par
le cirque également (N°
3 sur les illustrations).
L'accés et la dénivelée
sont les mêmes.
Intérêt : trés belle course de ski de randonnée.
Difficulté : pentes raides dans l'itinéraire direct entre
le fond du cirque et le sommet; crampons
et piolet utiles, couteaux indispensables si la neige est glacée ; de
plus, lorsque l'enneigement est abondant, cette course de ski de randonnée
nécessite de bonnes conditions de neige, non avalancheuses : en effet
l'itinéraire coupe dans la vallée les déversoirs de plusieurs
couloirs avalancheux de la rive droite, descendant de la sierra de Liena
Période recommandée : de janvier à début
avril..
Topos : aucun connu en français, sauf pour le port de Barroude
par la vallée de Barrosa : Raymond Ratio, Ski randonnées II, Hautes-Pyrénées,
Haut-Aragon, Atlantica, 2001, p.173; peut-être existe-t-il des topos espagnols
; de toutes façons l'itinéraire est simple.
ITINERAIRE : Du
fond du cirque on peut atteindre le sommet soit par une montée directe,
mais raide (surtout dans sa partie moyenne, avant et aprés un épaulement),
jusqu'aux faibles pentes qui précèdent le sommet ; soit en se
dirigeant vers le port de Barroude pour ensuite contourner dès que
possible les barres de faible hauteur qui surplombent cet itinéraire,
et prendre la direction opposée vers le sommet.
DESCENTE : Pour
la descente directe, s'orienter, depuis le sommet, vers le sud-est (en visant,
en face, le pic de Robiñera) pour éviter des barres à droite
et à gauche. La pente, d'abord faible, devient, entre
deux rognons rocheux, raide, rectiligne, soutenue
(juste coupée par un épaulement), jusqu'au fond du cirque : splendide
descente de 1000 m, face à la muraille du cirque.
3.
A pied, par les mines de Mallo Ruego (N°
8 sur les illustrations).
Les mines de Mallo Ruego se situent
sur le versant sud du pic Barrosa, au-dessus de la haute vallée
du rio Barrosa. Le plomb argentifère
qui en était extrait, sans doute à la fin du XIXe siècle,descendait
par un câble aérien dont témoigne encore une construction
ruinée au bord du chemin du cirque, relayé par une glissière
cachée dans la forêt au-dessus de l'Hôpital de Parzan. Mais
les installations minières comportaient aussi un chemin muletier,
entre les mines et la vallée, nécessaire au déplacement
des hommes assurant l'exploitation des mines et la maintenance des installations,
et au transport à dos de mulets du matériel et des vivres. Bien
qu'il soit actuellement délabré et peu visible (comme celui des
mines Luisa, au moins jusqu'en 2006), on peut suivre ses vestiges pour monter
jusqu'aux mines, d'où on peut continuer jusqu'au sommet du pic Barrosa.
Accés : par l'Hôpital
de Parzan, et la piste du cirque.
Intérêt : itinéraire rapide et original pour monter
au sommet du pic Barrosa, permettant de suivre (comme dans un jeu de piste)
les vestiges discontinus d'un vieux chemin muletier escarpé, et de visiter
d'anciennes mines exploitées grâce à ce chemin et à
un câble aérien, dans un vallon perché au-dessus de la vallée
du rio Barrosa sur sa rive gauche ; en descendant sur le port de Barroude et
le fond du cirque on réalise un trés beau circuit.
Dénivelé : 1230 m (si on part de la piste, 1288 si on part
de l'Hôpital de Parzan).
Difficulté : aucune, si ce n'est, outre l'importance du dénivelé
sur des pentes raides, la nécessité, surtout en bas, dans la forêt,
de trouver les vestiges du chemin muletier, repérés grâce
à ses murettes de soutènement. La traversée du rio Barrosa
peut poser problème en début de saison, à la fonte des
neiges, ou à la suite d'un orage.
Topos : aucun qui soit connu de l'auteur de ce site.
ITINERAIRE
:
Le départ se situe exactement à
l'endroit (à 1535 m d'altitude) où la piste du cirque passe sur
la voute maçonnée du canal de dérivation qui amenait l'eau
du rio Barrosa à la conduite forcée de la centrale électrique
des installations minières de l'Hôpital de Parzan. Cet endroit
est à 25 minutes à pied de l'esplanade de ces installations, mais
est accessible en voiture si elle est capable de monter les 250 premiers mètres
pentus de la piste. On trouve un endroit pour camper un peu en aval.
Il est bon de repérer d'abord, de ce point de départ,
en amont, un effondrement de la rive gauche du rio, en forme de demi-lune
: l'itinéraire passe au-dessus.
Descendre dans le sous-bois au bord du torrent, puis traverser
celui-ci dont le lit cailloteux est divisé en deux ou trois branches,
à hauteur d'un cairn imposant. Sur la rive gauche on trouve un sentier
qui, sur le bas d'un grand pierrier puis en forêt, monte vers l'amont
jusqu'au bord de l'effondrement en question.
Changer alors de direction pour remonter, guidé
par des cairns, la croupe boisée qui sépare le grand pierrier
du thalweg du Barranco de Mallo Ruego. Quand la pente se redresse, à
hauteur de l'extémité supérieure du pierrier, on finit
par trouver les premiers vestiges du chemin muletier, repérés
grâce aux murettes qui le soutenaient. Surtout dans les pentes raides
de la forêt c'est en effet grâce à ces repères
qu'on peut suivre les lacets de cet ancien chemin, souvent effondrés
ou effacés par l'herbe et la pierraille. En sachant aussi qu'il se dirige
en écharpe vers l'est, au-dessus de barres rocheuses et de petits couloirs
encaissés et au-dessous d'une autre barre. A travers les arbres on finit
par apercevoir une pelouse : monter vers elle si on a perdu le chemin.
A la sortie de la forêt il débouche sur des pentes
gazonnés moins raides, passe à proximité d'une pile arasée
qui soutenait probablement le câble aérien, et ses lacets atteignent,
au pied de l'éperon rocheux sur lequel était implantée
la station intermédiaire du câble, une sorte de promontoire
(vers 1980 m) qui offre une belle vue sur la sierra de Liena, par-delà
la vallée du rio Barrosa, jusqu'au col d'Espluca Ruego, et, au sud-est,
sur le massif des Puntas Fulsa et Suelsa.
Sur des pentes herbeuses raides, parsemées de pins,
le chemin se lance ensuite dans une traversée lentement ascendante par
laquelle il contourne par la gauche (ouest) la base de l'éperon, aprés
avoir donné un branche accessoire permettant, en le contournant par la
droite, de monter sur cet éperon, juste au-dessus des piliers en maçonnerie
de la station intermédiaire (permettant au câble de franchir
l'éperon).
Au bout de cette longue traversée le chemin atteint
le barranco de mallo Ruego (2040 m) et traverse le torrent sur des rochers
, juste à l'endroit où il plonge dans un couloir étroit
et quasi vertical, toboggan qui devrait intéresser des canyonistes.
On se trouve alors dans le vallon de Mallo Ruego, centré
par une petite gorge. Les lacets du chemin, remontent une large croupe à
gauche de celle-ci (rive droite). D'abord bien visibles ils disparaissent ensuite
dans une zone où on trouve une ancienne plate-forme maçonnée
(2105 m) qui supportait peut-être la station supérieure du téléphérique,
et servait à l'ancrage des câbles porteurs .
On les retrouve plus haut dans un éboulis en haut
duquel, sur un petit replat proche de la gorge (2165 m), on découvre
les ruines de deux bâtiments, en blocs de granite. Le sol est jonché
de morceaux de minerai (probablement, là aussi, du plomb argentifére,
peut-être associé à des minerais ferreux). Un petit chemin
couvert de gispet permet de descendre dans la gorge, profonde d'une dizaine
de mètres, où se situe sans doute le filon à la limite
entre granite (rive droite) et roche métamorphique. On y voit la bouche
de deux galeries. C'est tout ce qui reste des mines de Mallo Ruego.
Au-dessus : plus de chemin, des moutonnements de granite,
des éboulis et de longues pentes herbeuses, dominées par le pic
de Mallo Ruego et la falaise de grès rouge du pic Barrosa, au bout desquelles
on débouche sur un épaulement (2520 m) de l'arête
sud du pic, où brusquement on découvre, en face, toute la partie
sud du cirque. On peut facilement y suivre des yeux le chemin des mines du pic
Liena dans une partie de la traversée du cirque..
Il ne reste plus qu'à gravir cette arête sud,
raide mais herbeuse, puis à contourner l'extrémité d'un
couloir profond qui la sépare de la falaise de grès, pour gagner
les faibles pentes sommitales.
DESCENTE
: en parcouranr, face au cirque,
vers le nord-ouest, les larges croupes qui relient le sommet aux falaises de
Barrosa et Barroude, intéressantes sur le plan géologique et par
le panorama qu'elles offrent, on gagne, le port de Barroude (2534 m).
D'où on descend dans le cirque par le sentier, pour, dans
la haute vallée du rio Barrosa, boucler le circuit et rentrer à
l'Hôpital de Parzan.
On peut aussi descendre directement dans le cirque en empruntant
les pentes herbeuses raides de l'itinéraire skieur (voir ci-dessus).
REMARQUES
:
* Il existe
une variante directe à la partie
inférieure de cet itinéraire : elle consiste à remonter
le pierrier en face de la station inférieure du câble aérien
de Mallo Ruego, puis le couloir qui le prolonge à son sommet. On
en sort par un ancien sentier escarpé qui remonte l'éperon de
la rive droite de ce couloir mais disparait rapidement. Par une pente raide
de terre et d'herbe on accède à une vire permettant de descendre
dans un deuxième couloir, long et profond, orné d'une
cascade sur sa rive gauche. Par une escalade facile on le remonte jusqu'à
ce qu'on puisse en sortir à gauche et atteindre l'itinéraire précédent
au niveau du "promontoire". Cette variante est à déconseiller
en période de hautes eaux, ou aprés un orage.
* De bons
montagnards bien entrainés peuvent, lorsqu'à la descente ils arrivent
sous le port de Barroude, au lieu de continuer à descendre dans le cirque,
obliquer à droite pour se lancer dans la TRAVERSEE
DU CIRQUE PAR LE CHEMIN DES MINES, jusqu'au col d'Espluca Ruego,
et ensuite parcourir la sierra de Liena, descendre du pic Liena sur les mines
Luisa, puis, par le chemin de celles-ci (balisé en octobre 2006), sur
l'Hôpital de Parzan (voir la page consarée au pic Liena)
: ils réalisent ainsi un grand et somptueux circuit, empruntant
la totalité des chemins miniers du cirque et des versants de la vallée
du rio Barrosa au-dessus de l'Hôpital de Parzan, faisant visiter ces anciennes
mines, et de plus trés intéressant sur le plan géologique.
On peut l'imaginer dans l'autre sens, mais le chemin des
mines de Mallo Ruego est plus difficile à trouver à la descente
qu'à la montée.
Si on trouve ce circuit trop long pour une seule journée,
on peut le parcourir en deux jours : arrivé au port de Barroude
il suffit d'aller coucher au refuge de Barroude, à une demi-heure
de là, et de remonter au port le lendemain pour faire la traversée
du cirque.
Page
SITUATION, ACCES Page
d'accueil Haut
de page