Photos : page photos 9g
                                            
     Emplacement de la station inférieure de l'hypothétique câble aérien

                          
    Dans la vallée de La Géla, vue du chemin qui va de la Hourquette de Chermentas au balcon de Barroude, on devine, en haut de la photo, le chemin, qui, partant de l'endroit où le torrent fait un coude, à droite et en haut, à la sortie du ravin, traverse, légèrement descendant, le pierrier rougeâtre. C'est un chemin large, peut-être associé à un canal d'amenée de l'eau du torrent à la probable laverie qui se trouve un peu en aval.
    A la sortie du ravin se trouvait probablement la station inférieure de l'hypothétique câble aérien (voir une discussion de cette hypothèse dans la page consacrée au chemin des mines sur le versant français ; voir aussi la page de photos consacrée à la station supérieure).
    Si c'est le cas, le câble devait être tendu d'une seule volée entre les deux stations. Sa fonction était probablement de faire franchir au minerai des mines du pic Liena (apporté là par des "trains de mulets", aprés la traversée du cirque de Barrosa et le franchissement du port de Barroude) les barres rocheuses du "Pichous de Barroude", minerai qui était ensuite acheminé par des chars à boeufs dans la vallée d'Aure, peut-être aprés avoir été traité dans l'hypothétique laverie.

                               
   Sur cette PHOTO on devine, dans le pierrier rougeâtre, le chemin, depuis la sortie du ravin, à droite, jusqu'aux ruines de cette probable laverie, qui se situe tout à fait à gauche, sous les lacets du chemin descendant du Port Vieux.
   Dans le coin inférieur gauche de la photo, on voit le sentier du refuge et du port de Barroude.

 

                               
   Le ravin vu du sentier du refuge de Barroude.
   Le câble était peut-être tendu entre le petit balcon herbeux tout en haut de la falaise qui, dans l'ombre, au milieu de la photo, domine le ravin, et, en bas, la sortie du ravin, dans le coin inférieur gauche de la photo.
   Cependant il n'est pas impossible qu'il y ait eu une station intermédiaire sur l'épaulement herbeux (bien visible à droite), de l'éperon qui constitue la rive gauche du ravin.

 

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